Les activités dans les villages sont nombreuses et variées. Le programme est centré sur la découverte du village et de son territoire (sites pittoreques, sites touristiques, marchés...). Il est établi en fonction des centres d'intérêts des voyageurs : partage de la vie quotidienne du village, initiation aux savoir-faire traditionnels (artisanat, cuisine, musique, danse, maraîchage, activités de pêche...), visites, excursions, randonnées (à pied), rencontres et échanges avec les organisations sociales, discutions avec vos hôtes sur l'économie africaine, les traditions... Soirées récréatives (jeux traditionnels, danse, contes et légendes...) mais aussi baignades, siestes, repos.
Tous les séjours comportant des randonnées sont accessibles à toute personne en bonne santé. Dans le Fouta-Djalon, les randonnées ou balades sont relativement faciles si on sait se protéger du soleil parfois agressif. Les marches peuvent également être modifiées selon la composition du groupe.
Vous êtes logés dans le campement touristique villageois, ou chez l'habitant, ou sous tentes dans le village. Le confort est simple et propre. Vous disposerez d'un matelas, de draps, de couvertures et d'une moustiquaire. dans les centres villes, vous serez hébergé en hôtel ou auberge.
Dans les villages, vous aurez à votre disposition un seau d'eau pour vous laver, ou à la rivière selon votre choix. Dans les villes, les douches avec robinet sont à votre disposition.
Non, les cuisinières villageoises et tous les membres de l'association ou personnes ressources des villages sont formés à l'hygiène. Chaque repas commence par un rituel lavage des mains. Les guides et les cuisiniers ont remarqué que les occidentaux avaient l'estomac fragile : les crudités sont préparées avec soin comme tous les plats d'ailleurs et à l'aide de l'eau chlorée ou bouillie. Les repas sont à base d'ingrédients locaux, les cuisiniers proposent des plats traditionnels et parfois européens.
Il est bon de boire l'eau du forage, autrement il est conseiller d'utiliser des pastilles pour traiter l'eau.
Vous pourrez assister aux cérémonies religieuses invité par la population avec les conseils de votre guide-accompagnateur.
Dans certains villages, cependant il existe des lieux interdits. Il est important de tenir compte de ces restrictions qui vous
seront indiquées. Ne les transgressez pas sous peine de choquer la population.
Elle est possible en ville, mais dans les villages d'hôtes, l'alcool est mal vu.
Le français, langue officielle d'enseignement, est parlé par une minorité dans les villages. Au besoin, le guide-accompagnateur de l'association sert d'interprète.
Dès votre arrivée en Guinée, un guide-accompagnateur sera à l'aéroport pour vous accueillir.
Certains villages disposent de dispensaires à proximité pour les premiers soins. Dans le cas de maladie plus sérieuse, le malade est transféré à l'hôpital le plus proche, ou à Conakry ou encore rapatrié.
Oui, le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire. Le livret de vaccination internationale est obligatoire et vous sera demandé
à l'arrivée dans le pays. Il faut également vérifier que les vaccins habituels soient à jour : tétanos, poliomyélite, diphtérie.
Consultez votre médecin quelques semaines avant votre départ pour faire le point de vos vaccinations ainsi que sur un
traitement contre le palu. Si pour des raisons médicales, vous ne pouvez pas vous faire vacciner, le centre de vaccination
internationale devra vous délivrer une attestation de contre-indication.
Le minimum pour vos boissons, quant à vos dépenses personnelles, tout dépend de vos besoins habituels notamment en
termes d'achats cadeaux. Le guide-accompagnateur pourra vous donner des indications de prix, mais attention ! devant un
vendeur qui annonce un prix, il ne pourra absolument pas prendre parti pour l'un ou pour l'autre.
A Conakry et à Labè, il est possible de changer des euros ou des dollars. Dans les villages, le change n'est pas possible. Pour
le retrait, préviligier d'amener avec vous des coupures en euros ou en dollars, dans les grandes villes se trouvent des
distributeurs de billet mais on ne peut retirer que de petite sommes.
Le tourisme proposé par l'A.G.V.T-Guinée et les villages partenaires, n'est pas un tourisme de masse mais un tourisme de
développement rural durable. Nous établissons avec eux un partenariat économique, et leur offrons ainsi la possibilité d'un
développelent harmonieux et responsable.
Ne faites pas de dons individuels d'argent, cela favorise la mendicité. En séjournant dans ces villages, vous créez de l'activitééconomique et vous participez ainsi au mieux vivre des ces habitants. pour les dons en vêtements, chaussures, fournitures
scolaires, correspondent aux besoins des enfants et des femmes, il est toujours conseillé de vous référer au guideaccompagnateur
qui, selon le cas, les remet soit directement à la famille ou au comité de gestion du campement du village en qui
l'association, de par son expérience et sa prpopre fiabilité porte une confiance absolue.
Vous pourrez si vous le souhaitez, soutenir un projet qui vous a particulièrement plu ou marqué, mais faites le toujours sous
couvert de l'association qui est en partenariat avec les comités de gestion du campement villageois, qui à la lourde responsabilité
de coordonner les projets.
Les moyens les plus sûr pour les aider, est de participer activement à votre retour, à la promotion de l'association qui leur sert
de relai avec les touristes. Cette association avec laquelle ils ont consenti des efforts importants de formation et d'organisation,
leur garantie dignement et équitablement : des emplois, des revenus pour les artisans et les producteurs, des bénéfices
pour leurs caisses communautaires.
Il est bien d'adopter des tenus correctes pour ne pas choquer le habitants. Les shorts, jupes et robes trop courts sont à proscrire. Il ne faut pas laisser apparaître les cuisses ou le ventre. Il est recommander pour les femmes, d'apporter un voilage permettant l'accès aux cérémonies.